Je suis devenu la chose de mon patient
Je devais chaque matin me rendre chez un motard de la gendarmerie, amputé des 2 jambes, faire sa toilette, l'habiller, le faire déjeuner etc. La 1ère fois que j'ai dû soulever son drap, j'ai découvert une énorme queue, épaisse, protégeant les 2 plus grosses couilles que j'ai jamais vu. J'ai aussitôt dit "merci mère nature" devant lui. Il n'a pas compris et j'ai fait sa toilette. À travers le gant que je voulais chaud, je sentais sa poutre molle et ses balloches lourdes et j'ai pris le temps de laver ce que je désirai sentir dans ma bouche et dans mon cul. Les jours passaient et un jour, en faisant sa toilette, il entre en érection. Je le rassure. Il me dit qu'avec sa femme il ne se passe plus rien, que ça lui manque. Je lui avoue que je prendrai volontier sa place et que je veux le sucer. Je donne un coup de lange sur sa queue qui a immédiatement pris en raideur. Ni tenant plus, j'avalais sa queue de vieux en entière et ke pompais avec passion. Je lui demande si il veut me sauter en baissant un peu mon pantalon pour qu'il voit mon petit cul. Il m'a immédiatement caresser le boul', a mouiller ses doigts et les a enfoncés en moi. J'étais excité et je lui ai dit : "tu peux me traiter comme ta salope, comme ton vide-couilles perso et me forcer, je veux être ton défouloir. Il a immédiatement appuyé sur ma tête pour m'obliger à prendre toute sa queue en bouche. Il m'a traité de salope et m'a demandé de lui donner ma chatte. Je suis allé prendre du gel, ai badigeonner sa teub et mon petit cul. Il m'a demandé "tu veux que je te baise ? "Comme une pute, lui ai-je répondu. Ta grosse queue me fait envie depuis des semaines. Tu peux faire de moi ce que tu veux." Je me suis assis dessus et j'ai pris le temos de bien sentir son énorme queue me pénétrer en entière. Elle était trop bonne. Épaisse à un point que j'avais aussi mal qu'envie. "Putain, qu'est-ce qu'elle est grosse. Tu aimes ? Tu a envie de me baiser ? Oui, tu as un petit cul de gonzesse. C'est bon." Je me suis empalé sur lui pendant qu'il gémissait. À peine 3 minutes et il me dit : "Ça fait trop longtemps que j'ai pas baisé, je vais jouir vite. Féconde moi comme tu le faisais avec ta femme. C'est moi maintenant que tu peux foutre à la demande. J'ai senti les traits de sperme jaillir au plus profond de moi et sa bite me donner des derniers coups bien au fond. "C'est trop bon, me dit-il, tu as aimé ? "J'ai hâte que tu remettes ça. Tu m'as trop bien sauté et je kiffe ta queue, papa". Le lendemain, discrètement car sa femme était dans le salon, il m'a dit de le pomper. Et il m'a baisé la gueule et fait avaler son jus. "Demain ma femme part chez les enfants. Dès que tu m'appeles je viens. À 7h30 le matin je prenais sa queue en me faisant traiter de salope. Quand je l'appelais papa ou tonton, il m'appelait fiston et commençait à m'insulter. J'adorais ça. Il me faisait jouir. Il me dominait, jouait à me dominer et c'était trop bon d'être sa chose. Il m'a appelé en pleine nuit et je suis venu. J'étais à sa dispo et je lui offrait "ma chatte" et ma gueule à démonter. Il m'a secoué pendant plus de 5 ans et c'était bon. Il se lâchait complètement parfois, allant jusqu'à être brutal, violent. Notre complicité sexuelle était telle que plus il était hard et plus je devenais chaud en le flattant toujours et en avouant ce qu'il me demandait "Tu veux que je te poutre, fiston ? Oh oui daddy, je veux sentir ta queue. Allez, sois salope Je suis ta petite salope papa. Je vais remplir ta chatte de pute. Oh oui, baise moi comme une chienne, tonton, ton sac à foutre. Il était le seul à pouvoir me faire ça. Il a déménagé loin depuis. Mais ce rapport entre nous me manque.
